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PREMIER CHAPITRE. 

En hommage à l'épuisement du rêveur, l'archipel diamant fendait l'eau comme une lame.  Ce coquillage sur le traversier s'avérait un véritable piège à ombre.  Aboli dans l'ouverture, le secret valait-il son pesant d'or tant il alourdissait les pas de Kôcha?

Ses pas qui résonnaient comme des lanternes percent la nuit, en chaîne. Maintenant, appuyé sur ce mur, seul quai dans ce vide, il examinait la fin de son tourment qui tournoyait dans la fumée qu'il connaissait.
Kôcha croisa le velours d'une rousse qui descendait.  Osseuse, son apparence aristocratique crevait le brouillard.  L'âge, en compagnon, l'avait abandonnée.  Peut-être elle?

Auteur: Isabelle Royale. Canada.

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PREMIER CHAPITRE.

Il était très accablé par son secret, mais il se faisait plus de soucis pour les sentiments de ceux qui vivaient avec lui que pour la profonde peine qui lui perçait le coeur. C'est pour cela qu'il continuait à faire sa vie comme d'habitude. Il ne montrait jamais sa fatigue, et il faisait semblant d'avoir la force et la santé suffisantes pour travailler. En plus, chez lui il essayait de profiter tout le temps de sa famille et de faire toutes ces choses-là qu'il aimait tant faire.
C'est de cette façon que personne ne s'est rendu compte des insupportables douleurs que sa maladie lui produisait.

María José Martínez Vela. EOI Hellín, 3e 2001-2002.

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PREMIER CHAPITRE.

Il gardait ce secret depuis très longtemps. Cela faisait si longtemps qu'il l'avait placé à l'intérieur de son coeur, qu'il l'avait presque oublié. Mais, ce jour-là, sans savoir pourquoi, les souvenirs sont revenus à son esprit. Il éprouvait des sensations étranges, comme si c'était le jour précédent que tout s'était passé. 
À présent il a décidé qu'il devrait chercher une solution, il ne pourrait plus garder ce secret, et il savait bien que toute sa vie pourrait changer, selon la solution qu'il trouverait...

Rosa Vallés. EOI Hellín, 3e 2001-2002.

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Premier chapitre B. Premire chapitre C.
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PREMIER CHAPITRE.
Il s'appelait Pierre, et il croyait que l'homme qui avait tué Marie l'avait vu. Que pouvait-il faire? Il aurait pu être emprisonné, car la police aurait pu croire qu'il était fou. 
Pierre a pensé alors qu'il résoudrait le mystère tout seul, mais pour cela il devait être prudent, car il courait un grand danger. 
Pourquoi cet homme avait-il tué son amie Marie? ... il a commencé à y réfléchir.
Marie était une femme très agréable qui travaillait à la boulangerie. Il est donc allé chez Nicolas, le boulanger. Il lui a demandé où se trouvait Marie. Nicolas l'a enfermé dans une salle où il y avait de la farine. Il s'est mis à crier, mais personne ne l'a entendu, ensuite, il s'est assis et il s'est rappelé que le boulanger ressemblait à l'homme qui avait abattu Marie. 
Il l'avait tué, mais pourquoi? Elle devait sans doute savoir quelque chose...
Il a réussi à sortir, puis il a regardé par la fenêtre. Il a vu des hommes faisant entrer des sacs pleins d'argent dans le hangar, alors il s'est rappelé que le mois précédent Marie lui avait parlé de trois hommes qui avaient volé la banque de Paris, et elle lui a raconté aussi qu'elle les connaissait. "C'est pour cela que le boulanger a tué Marie", a-t-il pensé. Alors, il est allé à la police pour tout raconter.

Cristina Sánchez. 3e français, EOI Hellin, 01-02.

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PREMIER CHAPITRE.
Après y avoir réfléchi très longuement, il a décidé de raconter à ses amis ce qui lui était arrivé le jour où il se promenait avec son chien, et que la balle qu'il lui avait lancée avait disparu. 
Ce jour-là, il jouait avec son chien à la campagne, il lui avait lancé une balle, mais celle-ci avait disparu, il avait commencé à la chercher, mais elle n'apparaissait pas: on aurait dit que la terre l'avait avalée, mais, soudain, il découvrit une grotte.
Il était resté immobile pendant quelques secondes, car il ne savait pas de quoi il s'agissait: il avait trouvé même un escalier pour y descendre, mais il n'était pas sûr de le faire, car il n'avait jamais entendu parler de l'existence d'une grotte dans le coin. Il avait peur d'y descendre, et l'odeur qui en sortait le repoussait, mais une force étrange l'attirait, et finalement il s'est décidé à y entrer. 
En bas, il s'est retrouvé dans une grande salle où il y avait quatre grandes statues tout autour, ainsi qu'un autel sur lequel il y avait un enfant. Au début il avait pensé qu'il rêvait, mais les aboiements de son chien lui ont bien montré qu'il était tout éveillé. Sur l'autel il y avait une inscription dont il ne comprenait pas le sens. Finalement, il a décidé de partir et d'abandonner ce lieu étrange. 
Une fois dans la rue, il avait pensé qu'il ne parlerait à personne de l'existence de ce lieu, car il pensait que personne ne le croirait, et qu'on penserait qu'il était fou.
Finalement il a raconté cette histoire étrange à ses amis, et ils ont décidé de visiter la grotte tous ensemble, mais... ce qui s'est passé le jour où ils l'ont visitée restera dans le secret, on vous en parlera un autre jour peut-être....

Carmelo Martínez Laorden. 3e français, EOI Hellin. 01-02.

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Premier chapitre B. Premire chapitre C.
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PREMIER CHAPITRE.
Il ne connaissait personne dans la ville, et il voyait que les gens, comme partout, menaient une existence pacifique, heureuse, sans se soucier du lendemain, car ils ne savaient pas que tout pourrait changer dans leurs vies, soudain, sans savoir pourquoi.
Celui qui lui avait tout raconté était parti, très loin, et maintenant il était seul, pire encore, il se sentait extrêmement seul. Il aurait pu en parler à ses amis, mais ils les aurait impliqués dans l'affaire, et ils seraient en danger, à cause de lui. 
La femme qu'il avait rencontrée à la conférence à laquelle il avait assisté le jour qui avait changé sa vie était son seul espoir. Il savait qu'elle travaillait à la bibliothèque publique, et qu'elle en sortait à neuf heures du soir: il irait la voir le soir même, pour tout lui raconter.
Le secret qui ne lui permettait pas de vivre pourrait être raconté ce soir même. Peut-être qu'avec elle il trouverait une solution et leurs vies ne seraient pas boulerversés.

Pilar Villaescusa Jiménez. 3e EOI Hellin, 2001-2002. 

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PREMIER CHAPITRE.
C'était quelque chose qu'il n'oublierait jamais pendant sa vie...
Cette nuit-là il ne pouvait pas dormir. À l'extérieur de la maison il faisait un vent très doux, le ciel était complètement étoilé. Sa grand-mère se trouvait en bas, dans la cuisine, en train de faire la vaisselle. 
Tout à coup, il a écouté de petits coups sur la fenêtre, il s'est levé du lit et il a vu un être très bizarre et très petit qui le regardait fixement. Bien qu'il fût effrayé, il lui a permis d'entrer, et à l'instant il s'est senti très heureux, une grande allégresse l'a envahi.
Ce petit être-là émanait quelque chose de spécial. Il lui a donné une sorte de fraise de cristal et il lui a dit: "Gardez-la comme si c'était un trésor, et ne dites à personne que vous m'avez vu".
Il ne savait pas si ce qu'il avait vu était un rêve ou une réalité, en tout cas il a toujours gardé le secret, et il n'a jamais raconté à personne ce qui lui était arrivé, mais finalement il a sans doute commis une erreur...
Quand sa fille est née, il lui lisait un conte toutes les nuits. Une nuit, il lui a raconté ce qu'il avait vécu, comme si c'était l'histoire d'un lutin.
Quand il s'est couché, cette  nuit-là, il a remarqué que la fraise qu'il avait toujouurs gardée sous le lit était réduite en poudre: il avait sans doute brisé un secret.
Olga. 3e français. EOI Hellin. 2001-2002.

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PREMIER CHAPITRE.
Ses souvenirs revenaient pendant la nuit de plus en plus souvent. Il commençait à avoir des remords. Il avait peur de ce qu’il avait fait. 
“Tout va s’arrêter” s'est-il dit tout à coup, il a décroché le téléphone et il a composé un numéro: “Police” Il a commencé à parler: “je veux faire une confession, je suis un assassin.” 

Après la police est arrivée chez lui. Un policier lui a posé des questions. Il avait la mine triste et il pleurait. Il a raconté: “Je suis François Roland et j’ai tué une femme”. 
Il s’agissait d’une femme à qui il avait rendu visite pour connaître son avenir. Elle lui avait dit: “Tu feras une chose effrayante!” 
Cela a beaucoup étonné François. Il se demandait ce qu'il était devenu et il a tué la cause de son problème.

Caridad Rubio García. Quatrième français EOI d'Hellin. 2001-2002.
 

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PREMIER CHAPITRE.
Il s'appelait Pierre et il se demandait tous les jours à qui il pouvait confier son secret. Il habitait dans un orphelinat très grand. Il y avait beaucoup d'enfants comme lui, sans parents. Tout de même, c'était un garçon différent: il avait un
secret. En fait, ce n'était pas un secret universel:  la femme qui travaillait à la porte de l'orphelinat savait tout. 
Mais pour lui, elle ne comptait pas. Aucun de ses amis à l'orphelinat ne connaissait son secret et il voulait le raconter à quelqu'un. Pendant deux ans il avait pensé qui était l'enfant convenable et, finalement, il a decidé: Jean-Jacques, son
copain de chambre. Le 25 décambre ils étaient dans leur chambre avant de se coucher et il lui a dit: 
-Jean-Jacques, j'ai un secret très grand. Est-ce que je peux te le confier?
Jean-Jacques était très surpris et lui a répondu:
- Oui, raconte-le-moi.
Pierre a commencé:
- Pendant deux ans j'ai reçu des lettres d'un homme, mon père, et il dit qu'il va venir pour m'emmener avec lui. 
Jean-Jacques était très surpris et lui a répondu:
- C'est vrai ce que tu me dis? Parce que j'ai reçu aussi ces lettres. Mon père m'a aussi dit qu'il va venir pour m'emmener, moi et mon frère avec lui. 
Il y a eu un court silencet et Jean-Jacques et Pierre ont crié:
- Nous sommes frères! 

Mercedes Olivera. 1º Bachillerato. 07-08 IES San Isidoro de Sevilla (Madrid).
 

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PREMIER CHAPITRE.
Ce garçon s'appelait François et il habitait dans un quartier riche. Sa maison était très grande, elle avait trois étages: le sous-sol, le rez-de-chaussée et le premier étage. Dans le sous-sol il n'y avait rien, seulement quelques vieilles affaires.
Au rez-de-chaussée il y avait le salon, la cuisine et une salle de bain et le premier étage avait trois chambres et deux salles de bain. Cette maison avait aussi un jardin avec une piscine. 
François habitait avec ses parents, Pierre et Amélie, et sa soeur qui s'apelle Madeleine. Madelaine était son aînée de cinq ans et ils s'entendaient très bien.
Un jour, quand François allait à l'école il a trouvé un garçon pauvre évanoui dans la rue. Ce garçon était avec un petit chien qui était à côté de lui. François s'est approché et il est arrivé à   le réveiller. François a commencé à parler avec lui: il s'appelait Louis. 
François a décidé qu'il devait l'enmener chez lui. Les parents et la soeur de François n'étaient pas à la maison donc il a pu réussir à installer Louis et son chien au sous-sol. Il lui a donné à manger et après Louis et son chien se sont couchés et ils ont dormi tout le matin. Quand Louis et son chien se sont réveillés, François regardait la télé. François et Louis ont parlait de beaucoup de choses et Louis lui a dit que son chien s'appelait Topolino. 
François a décidé de cacher Louis et Topolino dans le sous-sol. Les jours passaient et le secret lui perçait le coeur et il éprouvait le besoin de le partager avec quelqu'un, donc il a décidé de le dire à sa soeur. 
Quand Madelaine l'a appris elle s'en est réjouie et elle a pensé qu'elle devait le dire à ses parents. Un soir après le dîner François et Madeleine se sont assis à côté de leurs parents et ils leur ont raconté l'histoire de comment Louis et Topolino étaient dans leur sous sol. 
Quand Amélie a  assimilé cette information elle a descendu les escaliers et elle a vu Louis et Topolino qui jouaient. Pierre est descendu aussi et il a embrassé Louis et Topolino. 

Quelques jours après Louis avait déja sa chambre et Topolino sa niche dans le jardin. Maintenant ils étaient six personnes dans la famille: Amélie, Pierre, Madeleine, François, Louis et Topolino. 

Carla González Poveda. 1º Bachillerato. 07-08 IES San Isidoro de Sevilla (Madrid).
 

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PREMIER CHAPITRE.
Il a donc décidé d'écrire dans son journal intime, mais il n'avait pas de consolation.
Il avait une petite soeur, qui s'appelait Monique, comme sa mère. Elle était très jolie et belle, mais surtout, on pouvait lui faire confiance, parce qu'elle ne disait rien à ses parents. Il a alors décidé  de lui raconter ce qui était arrivé dans le
métro. 
Quand il est entré dans la chambre de sa soeur, elle faisait ses devoirs d'anglais, et au moment où elle a vu le visage de son frère, elle s'est fait beaucoup de souci.
Il a commencé à lui raconter l'histoire...

Quand il était petit, il avait un ami secret, parce que les parents de son ami étaient très étranges et ils ne voulaient pas laisser leur fils avoir d'amis. Alors, ils sont partis dans un autre pays. Et quand, le protagoniste a rencontré son ami, il était très content mais, son ami avait l'air triste, alors il lui a demandé ce qui lui arrivait et il lui a expliqué qu'il était en danger, parce que ses parents avaient été assassinés par la mafia, et maintenant la mafia le cherchait. 

Paula Alfaro. 1º Bachillerato. 07-08 IES San Isidoro de Sevilla (Madrid).
 

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PREMIER CHAPITRE.
Il avait très peur. En faisant du vélo il avait trouvé un mort sur la route entre les champs. 
Le mort était récent, mais son coeur ne battait plus. On avait dit dans les nouvelles qu'un homme était mort cette nuit, mais cela ne voulait rien dire parce qu'il avait touché l'homme et ses traces étaient restées là. 

 Il ne savait pas que faire. Il l'a finalement raconté à son meilleur ami. Comme il avait plus de dix-huit ans, la police ne devait pas l'apprendre. Après avoir pensé pendant quelques jours ce qu'ils pouvaient faire, finalement ils  ont décidé de le jeter dans un fleuve qui était à cinq kilomètres de leur village. 

Peut-être que le mort est tombé dans la mer, mais cela,  nous ne le saurons jamais.

Javier Hernández. 1º Bachillerato. 07-08 IES San Isidoro de Sevilla (Madrid).
 

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PREMIER CHAPITRE.
Il se sentait très seul.
Tous les soirs il pensait à son secret et il avait des remords.
Il avait besoin de parler à quelqu'un, mais il se sentait très coupable à cause de son délit. 
Il voulait le raconter à sa copine mais il avait honte.
Après quelques jours il a décidé de le dire à sa copine pour ne plus avoir de remords.
Il lui a expliqué qu'il avait volé un très joli vêtement pour le lui offrir à Nöel. 
Il avait très honte mais maintenant qu'il le lui avait dit, il se sentait mieux et il n'avait pas de remords.
Il a parlé à sa copine du sujet et ils en ont conclu qu'ils devaient aller au magasin pour le payer. 
Il avait énormément honte de revenir au magasin, c'est donc sa copine qui est allée au magasin et qui a raconté ce qui s'etait passé.

À la fin, la fille a payé le vêtement et le garçon a promis de ne plus voler quoi que ce soit.

Adriana Galiana. 1º Bachillerato. 07-08 IES San Isidoro de Sevilla (Madrid).
 

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PREMIER CHAPITRE.

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